Bilan météo de juin 2025 : le deuxième mois le plus chaud enregistré, juste derrière 2003 !

En juin 2025, la France a subi des conditions climatiques extrêmes qui ont marqué les esprits. Avec une anomalie de température atteignant 3,3°C par rapport à la moyenne des années 1991-2020, ce mois a été classé comme le deuxième mois de juin le plus chaud jamais enregistré, juste derrière l’historique juin 2003. Cette chaleur dévastatrice, associée à un dénombrement exceptionnel de vagues de chaleur et à une pluviométrie relativement faible, soulève des questions cruciales sur l’évolution des conditions climatiques en France et sur les impacts d’une telle situation sur la société et l’environnement.

Bilan climatologique de juin 2025 : chaleur, pluie et ensoleillement

Le mois de juin 2025 a été particulièrement marquant en France, tant au niveau des températures que des précipitations. Ce bilan climatologique s’appuie sur un panel de 73 stations météorologiques à travers le pays pour fournir des données précises sur les anomalies de température, de pluviométrie et d’ensoleillement. En effet, ce mois de juin s’est distingué par des températures anormalement élevées, avec une anomalie de +3.3°C par rapport aux moyennes de référence (1991-2020), le plaçant juste derrière juin 2003, connu pour sa canicule historique.

Cet été, la chaleur a été particulièrement intense à partir de la seconde moitié du mois, avec plusieurs stations dépassant les 40°C à plusieurs reprises. De plus, la journée du 30 juin a enregistré les températures les plus chaudes jamais observées pour ce mois, atteignant 28.2°C. En revanche, les conditions pluviométriques ont été déficitaires, avec un -33% de précipitations par rapport aux normes, et une grande majorité des régions ayant connu des sécheresses importantes. Les rares averses se sont principalement manifestées sous forme d’orages violents, créant des contrastes marqués dans les différentes régions de France.

En parallèle, le mois a connu un ensoleillement dépassant la moyenne de 26%, avec des heures de soleil avoisinant les 350 heures sur la Côte d’Azur. Ces données illustrent bien les extrêmes climatiques de cette période, où la chaleur a été omniprésente, mais où la pluie se faisait rare, entraînant des enjeux significatifs pour l’agriculture et les ressources en eau.

Bilan Météo de Juin 2025

Comme chaque début de mois, un nouveau bilan climatologique est proposé. Voici celui de juin 2025 qui a été marqué par des événements météorologiques particulièrement ingrats en termes de température, de pluviométrie et d’ensoleillement sur un panel de 73 stations. Une large anomalie thermique de +3.3°C par rapport aux moyennes de référence de 1991 à 2020 positionne ce mois de juin au second rang des plus chauds de l’histoire en France, juste derrière le fameux mois de juin 2003. L’automne des répercussions de ces températures élevées ne se limite pas à des records isolés ; la période du 11 au 30 juin a vu une anomalie atteignant même +4.5°C, un évènement exceptionnel depuis 1945.

Il est essentiel de noter que ce mois a également été l’un des plus secs, avec un déficit pluviométrique de -33%. Les régions au nord de la Loire ont enregistré de fortes précipitations en début de mois, tandis que les orages virulents du 24 et 25 juin ont eu des impacts notables, allant jusqu’à provoquer des décès. Cependant, là où la pluie fut rare, le soleil a su s’imposer : un excédent d’ensoleillement de +26% a été observé, rendant ce juin exceptionnellement estival, surtout dans le sud de la France.

Enfin, ces données soulèvent aussi des inquiétudes sur les répercussions du changement climatique. En effet, à mesure que la fréquence des vagues de chaleur augmente, les effets sur la biodiversité, l’agriculture et la santé publique deviennent de plus en plus préoccupants.Les indications sur les tendances climatiques depuis plusieurs années suggèrent que ces phénomènes pourraient devenir la norme plutôt qu’une exception.

Bilan climatologique de juin 2025

Une chaleur record et des conditions sèches

Le mois de juin 2025 a enregistré des conditions climatiques extrêmement anormales, avec une anomalie de +3.3°C par rapport aux moyennes de la période 1991-2020, plaçant ce mois au second rang des mois de juin les plus chauds en France, juste derrière le fameux juin 2003. Ce constat révèle une tendance alarmante : l’intensité et la durabilité de la chaleur qui s’est installée à partir du 11 juin, atteignant des pics impressionnants au cours des dernières décades du mois.

Des pics de températures extrêmes ont été mesurés, dépassant les 40°C dans plusieurs stations, avec des records établis à Céret avec 41.5°C et Vinsobres atteignant 41.9°C. D’ailleurs, la journée du 30 juin a été la plus chaude jamais enregistrée pour un mois de juin, avec une température moyenne de 28.2°C, soit +7.5°C au-dessus des normes pour cette période de l’année.

• Début de mois favorable avec des anomalies de température modérées (+0.8°C).
• Entrée dans les critères de la vague de chaleur à partir du 19 juin.
• Les températures ont continué à augmenter, atteignant des niveaux historiques.
• Le déficit pluviométrique a été alarmant, atteignant -33% sur le mois, avec des régions subissant des mesures de -60 à -100% près de la Méditerranée.

Cette situation s’accompagne d’une faible pluviométrie, avec des précipitations quasi inexistantes à certains endroits, enregistrant seulement 0mm à Ajaccio. En revanche, certaines régions du nord ont connu des pluies supérieures à la moyenne, en grande partie dues à des orages violents qui ont frappé le pays. Ces événements orageux, bien qu’en nombre limité, ont engendré de graves dégâts dans certains départements.

L’ampleur de cette situation climatiques nous pousse à nous interroger sur l’avenir. Pour plus de détails sur la façon dont le climat évolue en Europe et les actions à prendre, vous pouvez lire des analyses approfondies sur des sujets tels que le réchauffement climatique ou encore le bilan climatique marquant du printemps 2025.

Bilan Météorologique de Juin 2025

Le mois de juin 2025 a été particulièrement marquant, affichant des températures moissonées n’ayant jamais été enregistrées auparavant. En effet, avec une anomalie de +3.3°C par rapport aux moyennes de la période 1991-2020, ce mois est désormais classé comme le deuxième mois de juin le plus chaud en France, juste derrière juin 2003. La chaleur intense s’est intensifiée après le 10 juin, culminant lors de la deuxième et troisième décades avec une anomalie pouvant atteindre +4.5°C, un record pour cette période.

La canicule survenue à partir du 19 juin a également été notable, avec des températures dépassant les 40°C dans plusieurs stations, dont 41.5°C à Céret et 41.9°C à Vinsobres. En prime, la journée du 30 juin a établi un nouveau record avec une température moyenne indiquée à 28.2°C, >soit +7.5°C au-dessus des valeurs saisonnières habituelles.

Concernant la pluviométrie, le mois a connu un déficit notable, se chiffrant à -33%. Ce manque de pluie a été exacerbé par l’absence d’un flux océanique durable, conduisant à des conditions sèches pour la majorité des régions. Les rares précipitations se sont manifestées principalement lors de violents orages, comme ceux enregistrés en juin, influencés par de fortes chaleurs.

En revanche, le mois de juin a été baigné de soleil, affichant une anomalie d’ensoleillement de +26%. Les valeurs exceptionnelles observées, notamment dans le Sud de la France, ont permis de dépasser 350 heures d’ensoleillement, rendant ce mois particulièrement estival et agréable malgré les températures élevées et le manque de pluie. Les stations les plus ensoleillées ont enregistré des taux d’ensoleillement atteignant 392 heures à Ajaccio.

Ce bilan climatique témoigne d’une tendance alarmante quant à la gestion des phénomènes météorologiques extrêmes, mettant en exergue l’urgence d’une réflexion collective face aux dérèglements climatiques auxquels nous faisons face aujourd’hui.

Bilan météo de juin 2025 : le deuxième mois le plus chaud enregistré

Le mois de juin 2025 a été marqué par des valeurs de chaleur exceptionnelles, se classant comme le deuxième mois de juin le plus chaud jamais observé, juste derrière l’historique juin 2003. Avec une anomalie thermique de +3,3°C par rapport aux moyennes climatiques de référence, ce phénomène reste un indicateur alarmant du changement climatique en cours. Les températures ont fortement augmenté à partir du 11 juin, et les stations de mesure ont enregistré des valeurs supérieures à 40°C dans plusieurs régions de France, témoignant d’une intensification des vagues de chaleur combien préoccupantes.

En parallèle, la pluviométrie a également connu un net déficit, atteignant -33% pour le mois, exacerbé par des orages violents et des tempêtes à certains moments clés, faisant appel à la vigilance sur les impacts combinés de la chaleur et de la sécheresse. L’ensoleillement a par ailleurs été au-dessus des normales, accentuant le caractère estival de ce mois. Ce bilan met en lumière la nécessité d’une prise de conscience collective sur les enjeux climatiques actuels et d’agir face à l’urgence.