Juillet 2025 : entre vagues de chaleur intense et rafraîchissements inattendus
EN BREF
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Le mois de juillet 2025 a été marqué par des fluctuations climatiques saisissantes, oscillant entre des vagues de chaleur intense et des rafraîchissements inattendus. Après un début de mois caniculaire où les températures ont franchi des seuils alarmants, la seconde moitié a été marquée par une série de conditions météorologiques changeantes, apportant fraîcheur et humidité, contrastant avec la sécheresse observée précédemment. Cet été dénote des disparités qui interpellent à la fois les scientifiques et le grand public face aux enjeux du changement climatique et de la gestion des ressources en eau.

Bilan climatique de JUILLET 2025
Le mois de juillet 2025 a été marqué par des variations climatiques significatives, oscillant entre des températures caniculaires et des périodes de fraîcheur. En début de mois, la France a connu une vague de chaleur avec des températures dépassant les 40°C dans certaines régions, notamment à Durban-Corbières et Nîmes. Malgré un mois de juin très chaud, juillet a enregistré une anomalie positive de +0.9°C par rapport à la moyenne de la période 1991-2020, confirmant que cette saison estivale présente un climat plus chaud que la normale. Cependant, comme l’indiquent les données, ce mois a aussi accueilli des épisodes de fraîcheur, notamment entre le 21 et le 31 juillet, où les températures sont tombées en dessous des moyennes saisonnières.
Au niveau des précipitations, juillet 2025 a alterné entre des journées sèches et des épisodes orageux. La première moitié du mois a été plutôt sèche, mais une série de pluies orageuses entre le 12 et le 20 juillet a apporté un certain soulagement, contribuant à saturer des sols déjà très secs. Les définitions pluviométriques révèlent que certaines régions ont enregistré des excédents remarquables, atteignant des taux allant jusqu’à 607% en Corse. Parallèlement, des secteurs tels que le Sud-Ouest et certaines zones de la Bretagne ont subi des déficits de précipitations significatifs, allant jusqu’à -93% à Ajaccio.
Enfin, l’ensoleillement a également connu des variations notables. Les régions de la méditerranée se distinguent avec des totals d’ensoleillement dépassant 350 heures, tandis que certaines zones au nord ont enregistré un ensoleillement déficitaire de -10% ou plus. Cette dynamique d’ensoleillement met en exergue le caractère contrasté de la météo de juillet 2025, rendant ce bilan d’autant plus essentiel pour comprendre les tendances climatiques actuelles et futures.

Bilan climatologique de juillet 2025
Comme chaque début de mois, un nouveau bilan climatologique est proposé, cette fois-ci pour juillet 2025. En termes de température, pluviométrie et ensoleillement, les données proviennent d’un panel de 73 stations. Les anomalies présentées sont calculées à partir des moyennes climatiques de la période de référence 1991-2020.
Après un mois de juin véritablement caniculaire (+3.3°C), juillet a enregistré des températures plus agréables, l’anomalie étant également positive mais moins marquée, avec un écart de +0.9°C par rapport à la moyenne 1991-2020. En effet, avec un indicateur national de 22.0°C, juillet a été légèrement moins chaud que juin (22.2°C), une première depuis 2003.
La transition entre juin et juillet a permis à juillet 2025 de se situer dans les niveaux observés les années précédentes, plus particulièrement en 2024 et 2023. Cependant, nous restons loin des records, avec des jalons comme juillet 2006 (+3.3°C), juillet 1983 (+2.3°C) et juillet 2018 (+2.1°C).
Les températures de ce mois ont connu une divergence significative, avec des valeurs estivales fortes enregistrées principalement en début de mois (+2.0°C du 1er au 20 juillet), tandis que la fin du mois a été marquée par un rafraîchissement (-1.2°C du 21 au 31 juillet). En effet, juillet a commencé sous des températures anormales, élevant certaines régions à des maximums dépassant les 40°C le 1er et le 2 juillet, atteignant 41.6°C à Durban-Corbières (Aude) et 41.3°C à Nîmes. Cette journée a enregistré l’anomalie la plus élevée du mois (+7.5°C par rapport à la moyenne).
Le rafraîchissement a été temporaire, survenant entre le 7 et le 10 juillet, mais la chaleur est vite revenue. La véritable transition vers des températures plus clementes a été observée à compter du 21 juillet, marquée par l’établissement d’un flux d’origine océanique. Durant la seconde partie du mois, aucune journée n’a enregistré des températures supérieures aux moyennes de saison, avec des anomalies limitées à -1 et -2°C. Cela a permis une certaine normalisation des températures après une période caniculaire intense.
Évolution des températures quotidiennes en France durant juillet 2025 et écart à la moyenne 1991-2020 – Infoclimat
Les stations ont révélé que malgré la chaleur, seulement une station a enregistré un déficit thermique : Metz avec un bilan de -0.1°C. Cependant, d’autres stations dans les régions du Centre-Est et du Nord-Est ont signalé des déficits plus significatifs, atteignant -1.2°C à Pontarlier (25). Pendant ce temps, les zones de la moitié Ouest et les bords de la Méditerranée ont observé des anomalies positives dépassant souvent +1°C.
Au niveau des précipitations, juillet 2025 a connu une augmentation de l’humidité par rapport à juin, avec une hausse de +14% des niveaux de saison, bien que ce chiffre soit biaisé par de fortes anomalies à Perpignan. Le début du mois a cependant été particulièrement sec, mais des pluies bienvenues sont apparues entre le 12 et le 20 juillet. Après plusieurs épisodes orageux sur l’ensemble du territoire, les normes mensuelles de précipitations ont été dépassées dans de nombreuses régions, notamment en Normandie et dans le Grand-Est, où des excédents de 60 à 100% ont été observés.
Parallèlement, certaines régions ont souffert d’un déficit pluviométrique, notamment le Sud-Ouest et l’Auvergne, où le manque d’eau a atteint -70% par rapport à la moyenne. C’est dans des villes comme Agen et Nice que les instances d’humidité ont été les plus préoccupantes, affectant ainsi la croissance locale et l’écosystème environnant.
Quant à l’ensoleillement, il a été très proche de la moyenne, avec un faible excédent de +2%. Toutefois, les régions du midi, notamment en Alsace et aux Alpes, ont affiché des déficits significatifs en matière d’ensoleillement, atteignant jusqu’à -13% dans certaines localités. Inversement, le quart Nord-Ouest du pays a observé un ensoleillement généreux, avec des excédents de 10 à 20%. Les villes côtières de la Méditerranée ont, une fois encore, enregistré des heures d’ensoleillement impressionnantes, dépassant les 350 heures dans certaines stations.
Récapitulatif :
* PANEL DE 73 STATIONS
Température – pluviométrie – ensoleillement :
Agen, Ajaccio, Albi, Alençon, Angers, Aurillac, Bastia, Beauvais, Bergerac, Besançon, Biarritz, Bordeaux, Bourges, Bourg-Saint-Maurice, Brest, Brive, Caen, Calais, Carcassonne, Charleville-Mézières, Chartres, Château-Arnoux-Saint-Auban, Châteauroux, Clermont-Ferrand, Cognac, Colmar, Dijon, Embrun, La-Roche-sur-Yon, Langres, Le Mans, Le-Puy-en-Velay, Le Touquet, Limoges, Lorient, Luxeuil, Lyon-Bron, Mâcon, Marseille-Marignane, Melun, Millau, Mont-de-Marsan, Montélimar, Montpellier, Nancy-Essey, Nantes, Nevers, Nice, Nîmes-Courbessac, Niort, Orléans, Paris-Montsouris, Perpignan, Poitiers, Rennes, Saint-Brieuc, Saint-Etienne, Saint-Dizier, Saint-Geoirs (Grenoble), Saint-Girons, Saint-Quentin, Strasbourg, Tarbes, Toulouse-Blagnac, Tours, Troyes.
Température – pluviométrie (absence de données d’ensoleillement) :
Abbeville, Hyères, Lille, Metz, Romorantin.

Bilan climatique de juillet 2025
Températures et précipitations : une analyse approfondie
Le mois de juillet 2025 a présenté une variabilité notable des températures et des précipitations à travers la France. Après un juin caniculaire, où les températures ont atteint des sommets inédits, juillet a connu des valeurs un peu plus modérées, tout en restant au-dessus des moyennes historiques. L’écart de +0.9°C par rapport à la moyenne 1991-2020 démontre une tendance persistante à la chaleur exacerbée, malgré une légère baisse par rapport à juin.
Les températures élevées en début de mois ont marqué le retour de la chaleur, avec des relevés dépassant 40°C dans plusieurs régions. Cependant, la seconde partie de juillet a apporté un retour à des conditions plus fraîches, avec une anomalie temporaire marquée par des valeurs deux fois plus basses que les normales saisonnières.
- Sur les périodes caniculaires, il est essentiel de rester hydraté et d’éviter les activités extérieures lors des heures chaudes.
- Les événements orageux rencontrés ont permis de rétablir une partie de l’humidité dans le sol, soulignant l’importance de la gestion de l’eau pendant des périodes de sécheresse prolongée.
- Dans certaines régions, des incidences notables d’incendies ont été constatées, rendant importante la sensibilisation aux risques d’incendie durant les vagues de chaleur.
- Des initiatives locales peuvent aider à lutter contre le changement climatique, comme la plantation d’arbres pour améliorer la qualité de l’air et augmenter l’ombre dans les espaces publics.
Des recherches montrent que la formation d’iles de chaleur urbaines contribue à une augmentation des températures nocturnes en milieu urbain, aggravant les effets des vagues de chaleur. Ces observations mettent en lumière l’importance d’appliquer des couvre-sol et de concevoir des infrastructures vertes et durables.
Bilan climatologique de JUILLET 2025
Comme à chaque début de mois, nous vous proposons un nouveau bilan climatologique. Place désormais au bilan cartographié de JUILLET 2025 en termes de température, pluviométrie et ensoleillement sur un panel de 73 stations. Les anomalies présentées sont calculées à partir des moyennes climatiques de la période de référence 1991-2020 sur l’ensemble des stations du panel.
Après un mois de juin véritablement caniculaire (+3.3°C), ce mois de juillet a renoué avec des températures un peu plus respirables. De ce fait, l’anomalie, bien qu’une nouvelle fois positive, est nettement plus modérée avec un écart de +0.9°C par rapport à la moyenne 1991-2020. A noter qu’avec un indicateur national de 22.0°C, juillet a été légèrement moins chaud que juin (22.2°C), ce qui ne s’était plus produit en France depuis 2003.
Juillet 2025 se situe peu ou prou dans les niveaux observés en 2024 et 2023. Nous restons bien loin des records, dont le podium des plus chauds est composé de juillet 2006 (+3.3°C), juillet 1983 (+2.3°C) et de juillet 2018 (+2.1°C).
Indicateur thermique national pour juillet 2025 depuis l’après-guerre (1945) – Infoclimat
Si le bilan national est de +0.9°C, ce mois a toutefois été coupé en deux, avec une première partie encore bien estivale (+2.0°C du 1er au 20 juillet), mais une fin de mois plus maussade et fraîche (-1.2°C du 21 au 31 juillet).
Car en effet, le mois avait débuté sous des températures anormalement élevées, avec des valeurs caniculaires (vague de chaleur débutée le 19 juin). La barre des 40°C était dépassée dans plusieurs régions le 1er et 2 juillet, avec un maximum de 41.6°C le 1er du mois à Durban-Corbières (Aude) et 41.3°C à Nîmes. Cette journée marquait alors l’anomalie la plus forte du mois (écart de +7.5°C par rapport à la moyenne 1991-2020 à l’échelle nationale).
Un premier coup de fraîcheur très relatif s’est ensuite produit entre le 7 et le 10 juillet avec une bascule très temporaire sous les moyennes de saison, et des valeurs parfois sous les 5°C au petit matin (4.3°C à Ménat (63) le matin du 9 juillet). La chaleur est toutefois revenue durant l’intégralité de la seconde décade, sans températures caniculaires cette fois. La véritable bascule s’est produite à partir du 21 juillet avec l’installation d’un flux d’origine plus océanique, marqué par une baisse plus notable et durable des températures. Pas une seule journée entre le 21 et le 31 juillet n’a été au-dessus des moyennes, avec une anomalie toutefois limitée entre -1 et -2°C tout au plus.
Évolution des températures quotidiennes en France durant juillet 2025 et écart à la moyenne 1991-2020 – Infoclimat
Cette fraîcheur de la fin de mois n’a toutefois pas été assez marquée et durable pour permettre de compenser les températures estivales de la première moitié du mois. Sur notre panel de station, une seule est en déficit thermique (quasi-anecdotique) : il s’agit de Metz avec un bilan de -0.1°C. Sur le réseau secondaire, plusieurs dizaines suivent toutefois le pas, principalement dans les régions du Centre-Est et du Nord-Est : les déficits par rapport à la moyenne les plus importants sont de -1.0°C à Tarentaise (42), -1.1°C à Bessans (73), et -1.2°C à Pontarlier (25).
En revanche sur toute la moitié Ouest mais également sur les bords de la Méditerranée, les valeurs ont été plus élevées avec une anomalie qui y dépasse souvent la barre du +1°C. Sur notre panel, les plus gros excédents se situent en Poitou et Pays-de-la-Loire (+1.4°C à Nantes, +1.6°C à Poitiers), en Hauts-de-France (+1.5°C à Lille, +1.8°C au Touquet) ainsi qu’en Provence et Ouest-Corse (+1.9°C à Ajaccio et +2.0°C à Hyères). Quatre stations du réseau secondaire ont par ailleurs franchi cette barre des +2°C, toutes dans le Sud-Est : notons +2.2°C à Calvi (2A), +2.4°C à Pézénas (34) et Valbonne (06) et un maximum de +2.5°C à Lagrasse (11).
A l’inverse de juin particulièrement sec, juillet 2025 a renoué avec un peu plus d’humidité en seconde partie de mois, de quoi repasser autour des niveaux de saison (+14% sur le panel mais biaisé par un très fort excédent sur la station de Perpignan).
Le début du mois, sous la canicule, s’est avéré encore particulièrement sec. Quelques pluies ont fait néanmoins temporairement leur retour en fin de première décade, sans que toutes les régions soient concernées. Avec le retour du mistral et de la tramontane sur des sols secs, de virulents incendies se sont dès lors déclenchés en secteur Méditerranéen notamment près de Narbonne et de Marseille.
Si plusieurs salves d’orages ont apporté des pluies particulièrement bienvenues près de la Méditerranée entre le 12 et le 20 juillet, ce n’est réellement que lors de la troisième décade, où l’humidité s’est installée plus sérieusement sur un bon nombre de régions, à la faveur d’un flux orienté au Nord-Ouest. Ce changement s’est orchestré entre le 18 et le 20 juillet, avec un conflit de masse d’air ayant provoqué de forts orages accompagnés de grêle et de violentes rafales de vent en plusieurs régions du pays, et même une tornade sur l’aéroport de Tours en matinée du 21 juillet. Une goutte froide peu mobile a ensuite apporté des pluies parfois abondantes le 24 juillet des Ardennes au bassin Parisien.
Ces quelques séquences humides ont permis de dépasser les normes mensuelles pluviométriques sur plusieurs régions du territoire. C’est notamment le cas de l’embouchure de la Loire au Grand-Est, en passant par l’Ile-de-France, la Normandie ou encore en région Centre avec un excédent allant de +60 à +100% voire plus (+60% à Paris, +97% à Troyes, +119% à Nantes). Mais c’est sur le pourtour Méditerranéen, où les salves orageuses ont apporté des cumuls largement supérieurs aux normes, pour un mois de juillet habituellement très sec. Il n’est alors pas rare d’avoir atteint deux à trois fois les moyennes sur plusieurs villes(+121% à Bastia, +150% à Montpellier, +165% à Marseille-Marignane). Certaines villes d’habitude très sèches en juillet ont même atteint des excédents très importants : +393% à Perpignan, +498% à Béziers-Cap-d’Agde et jusqu’à +607% à Solenzara (Corse).
A l’inverse, certains secteurs ont été davantage épargnés par les pluies. Il s’agit notamment du Sud-Ouest, de l’Auvergne et du Centre-Est de la France avec un déficit qui atteint par endroit les -50 à -70% sur notre panel (-58% à Saint-Etienne, -70% à Bergerac et Tarbes, -72% à Agen, -92% à Auch). La Bretagne (-34% à Brest), le Nord-Pas-de-Calais (-22% à Lille, -33% à Calais) mais également la Côte d’Azur (-66% à Nice) et surtout la côte occidentale de la Corse (-93% à Ajaccio) ne sont pas en reste.
En termes de cumul total des précipitations, c’est bel et bien l’ensemble du bassin Parisien qui a récolté le plus de pluie au cours de ce mois de juillet sur notre panel de stations mais également la Haute-Normandie ou encore la Loire-Atlantique. Sur ces zones, le seuil des 100mm cumulés a été approché voire franchi, avec 95mm à Paris, 104mm à Beauvais et Orléans, ou encore 111mm à Troyes. Toutefois, ce sont des stations des reliefs de l’Est qui ont sur le réseau secondaire reçu le plus de précipitations, avec là des valeurs y dépassant parfois les 150mm entre Haute-Savoie, Jura et Vosges : jusqu’à 178mm à Ballon de Servance (70), 182mm au Ballon-d’Alsace (90), 198mm à Vacheresse (74), et même un maximum national de 260mm à Novel (74).
Plus l’on se dirige vers les régions du Sud, plus les cumuls sont faibles, dépassant rarement la barre des 50mm sur les stations principales notamment dans le Sud-Ouest, sur la Corse d’Azur et l’Ouest de la Corse (18mm à Toulouse, 14mm à Agen, 5mm à Nice et un très faible 0.6mm à Ajaccio). Malgré des excédents semblant à première vue remarquables sur les bords de Méditerranée, les cumuls demeurent toutefois assez limités car le mois de juillet est classiquement le mois le plus sec de l’année : on ne relève dès lors « que » 74mm à Perpignan, 43mm à Montpellier, ou encore 29mm à Marseille-Marignane, qui représentent pourtant deux à cinq fois la moyenne de juillet.

Au cours de juillet 2025, la France a traversé des événements climatiques contrastés, oscillant entre vagues de chaleur intense et périodes de rafraîchissement. Alors que le mois a débuté sous des températures caniculaires, dépassant les 40°C dans plusieurs régions, les tendances se sont inversées vers la fin du mois avec une baisse significative des températures.
Ce mois a affiché une anomalie thermique positive de +0.9°C, moins marquée que celle de juin, témoignant de l’impact des variations climatiques. La pluviométrie a également été notable, avec un bilan qui a révélé des excédents dans plusieurs secteurs, surtout en raison des orages survenus. Paradoxalement, certaines zones telles que le Sud-Ouest ont enregistré de forts déficits, soulignant les disparités géographiques des impacts climatiques.
Ce type de climat changeant nous pousse à réfléchir aux implications des changements climatiques en cours. Alors que certaines régions souffrent de sécheresse, d’autres sont confrontées à des événements extrêmes tels que les incendies. Il est essentiel d’anticiper ces variations pour mieux prévenir et s’adapter aux défis futurs que pose notre environnement en constante évolution.
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