La 2ᵉ édition de la Conférence nationale sur le genre et l’action climatique : une plateforme pour l’inclusion au cœur des discussions
EN BREF
|
La 2ᵉ édition de la Conférence nationale sur le genre et l’action climatique s’est tenue récemment à Ouagadougou, réunissant des jeunes écologistes autour de thématiques essentielles. Cet événement représente une plateforme cruciale pour mettre en lumière les enjeux d’égalité et d’inclusion dans les discussions environnementales. Sous le thème « Genre et action climatique : comment renforcer l’inclusion pour une transition écologique durable », cette conférence a permis de réfléchir aux interconnexions entre le genre et les défis climatiques, soulignant l’importance d’une démarche inclusive pour bâtir un avenir durable.
Conférence nationale sur le genre et l’action climatique
La 2ᵉ édition de la conférence nationale sur le genre et l’action climatique s’est tenue le samedi 18 octobre 2025 à Ouagadougou, réunissant des jeunes écologistes de l’Association des jeunes pour l’écologie, le développement endogène et participatif (AJEDEP). Cet événement, présidé par le secrétaire permanent du Conseil national du développement durable (CNDD), Pamoussa Ouédraogo, a mis en avant l’importance d’intégrer les questions de genre dans les politiques environnementales. Lors de cette rencontre, Pamoussa Ouédraogo a salué l’engagement des jeunes dans la lutte contre les défis climatiques, soulignant qu’il est crucial de renforcer les capacités des participants, notamment à travers des négociations sur le climat basées sur la contribution déterminée au niveau national.
Cette conférence avait pour thème central « Genre et action climatique : comment renforcer l’inclusion pour une transition écologique durable ». Des sous-thèmes variés ont été abordés, tels que l’accès au financement, l’inclusion des femmes dans la prise de décisions politiques, et les stratégies d’atténuation et d’adaptation face aux impacts environnementaux. La directrice projets de l’Organisation de la conférence, Laïlatou Barro, a exprimé le besoin pressant de sensibiliser et de former 200 jeunes sur ces thématiques qui sont essentielles pour construire une transition écologique véritablement inclusive au Burkina Faso.
Conférence nationale sur le genre et l’action climatique
Le samedi 18 octobre 2025, la 2ᵉ édition de la conférence nationale sur le genre et l’action climatique s’est tenue à Ouagadougou, rassemblant des jeunes écologistes motivés par le changement climatique. L’événement, présidé par Pamoussa Ouédraogo, secrétaire permanent du Conseil national du développement durable (CNDD), a mis en avant l’importance d’intégrer les questions de genre et d’inclusion dans les politiques environnementales. À travers la contribution déterminée au niveau national, ces discussions ont souligné l’urgence d’initiatives concrètes pour l’adaptation et l’atténuation des effets du changement climatique. Les participants ont été encouragés à mener des actions qui ne se limitent pas à des discours, mais qui permettent également de renforcer leurs capacités en matière de négociations climatiques.
Dans le cadre de la conférence, Dr Emma Kantiono et Salifou Bouda ont partagé leur vision sur le rôle crucial de la jeunesse face aux défis écologiques. Dr Kantiono a souligné la nécessité d’une transition écologique durable et a encouragé les jeunes femmes à prendre des décisions au sein des instances politiques, une perspective qui trouve écho dans le besoin croissant d’égalité des genres dans les actions climatiques. En évoquant la force transformative que représente l’engagement climatique, elle a également incité les participant(e)s à considérer cet engagement comme une occasion d’innovation, notamment dans les domaines de l’eau, de l’énergie et des déchets.
Les discussions ont exploré des sous-thèmes variés, allant des stratégies d’atténuation aux défis d’accès au financement, en passant par l’importance de l’inclusion des femmes dans les processus de prise de décision politique. À ce propos, Laïlatou Barro, directrice projets de l’Organisation de la conférence, a mis en avant que la sensibilisation et la formation de 200 jeunes sur ces thématiques étaient primordiales pour favoriser une prise de conscience collective et une action concertée pour un avenir plus équitable. Les voix des jeunes, en particulier des jeunes femmes, sont indispensables dans le débat sur le climat, car leur engagement pourrait substantiellement influencer la gestion des ressources naturelles et la justice sociale.
En outre, la conférence a également considéré la dimension locale et culturelle dans la lutte contre le changement climatique, prônant une adaptation réellement intégrée aux réalités du Burkina Faso. Ce lien entre les défis environnementaux et les inégalités sociales a été souligné à plusieurs reprises, rappelant que le genre est un facteur clé de vulnérabilité face aux impacts du changement climatique. En ce sens, des études montrent que l’implication active des femmes dans les décisions environnementales est essentielle pour une résilience accrue des communautés. Pour approfondir cette thématique, il est utile de se référer à des recherches, telles que celles menées par le PNUD, qui explorent comment les femmes en milieu rural peuvent être mieux soutenues dans leur engagement pour l’environnement.
La question se pose alors de savoir comment transformer cet engagement en un véritable mouvement collectif capable de faire entendre sa voix. Une solution réside dans la création d’espaces de dialogue et d’apprentissage, où les expériences et les idées peuvent être partagées, favorisant un environnement propice à l’innovation et à la collaboration.
Les Enjeux de l’Inclusion dans l’Action Climatique
Vers une Égalité Durable
L’égalité de genre et l’action climatique sont intrinsèquement liées, comme l’a mis en avant la 2ᵉ édition de la conférence nationale organisée par l’AJEDEP. Dans ce cadre, il est essentiel de considérer l’impact que les politiques climatiques ont sur les différentes communautés, et particulièrement sur les femmes, souvent plus vulnérables face aux conséquences du changement climatique. Cette conférence a permis de développer des stratégies concrètes pour renforcer cette inclusion.
Parmi les approches discutées, plusieurs solutions pratiques ont été mises en lumière, visant à promouvoir un engagement inclusif et durable :
- Formation et sensibilisation : Mettre en place des programmes de renforcement de capacités pour les jeunes, notamment sur des thèmes comme les négociations climatiques et le financement des initiatives environnementales.
- Accès à des financements : Faciliter l’accès des femmes aux ressources financières nécessaires pour mener à bien des projets propres à atténuer les effets du changement climatique.
- Implication dans la prise de décision : Encourager la représentativité des femmes dans les instances décisionnelles, afin qu’elles puissent faire entendre leurs voix et influencer les politiques publiques.
L’ONU Environnement souligne l’importance d’une telle démarche. - Création de réseaux solidaires : Établir des liens entre les jeunes et les acteurs chevronnés du domaine, leur permettant de partager des expériences et de bâtir des alliances.
Ces initiatives doivent être soutenues par tous les acteurs du développement durable, car elles représentent des leviers essentiels pour garantir que la transition écologique soit véritablement inclusive. L’engagement des jeunes, comme il a été souligné lors de la conférence, est fondamental pour entraîner un changement significatif.
Également, de nombreuses études ont montré que l’implication des femmes dans les projets environnementaux rend ces initiatives plus efficaces et plus durables. Par exemple, des recherches initiées par l’Institut de relations internationales et stratégiques démontrent comment une approche sensible au genre peut catalyser des solutions novatrices pour les défis climatiques.
Ce rassemblement a également permis d’identifier des défis à relever, comme la nécessité d’éduquer les jeunes sur l’importance du changement climatique et de les mobiliser autour de cette cause. Promouvoir une culture écologique chez les jeunes est donc une préoccupation centrale qui doit guider les actions à mettre en œuvre.
Conférence nationale sur le genre et l’action climatique : Un engagement résolu vers l’inclusion
Le 18 octobre 2025, l’Association des jeunes pour l’écologie, le développement endogène et participatif (AJEDEP) a organisé la 2ᵉ édition de la conférence nationale sur le genre et l’action climatique à Ouagadougou. Cette rencontre a été marquée par la présence de nombreux acteurs engagés dans la lutte pour une transition écologique durable. Le secrétaire permanent du Conseil national du développement durable (CNDD), représentant le ministre de l’environnement, a souligné l’importance de l’intégration des thématiques de genre et d’inclusion dans les politiques publiques.
Les jeunes participants ont été félicités pour leur implication, et le secrétaire permanent a encouragé des initiatives concrètes tout en mettant l’accent sur la nécessité d’une capacité d’adaptation face aux défis climatiques. Ce rapprochement entre genre et climat s’est traduit par des discussions riches sur le rôle des femmes dans la prise décisionnelle et l’accès au financement.
Le thème central de cette édition, « Genre et action climatique : comment renforcer l’inclusion pour une transition écologique durable », a permis de traiter de divers sous-thèmes, y compris les stratégies d’atténuation et d’adaptation, ainsi que l’intégration des femmes dans des postes de responsabilité. La directrice projets de l’Organisation de la conférence a rappelé l’objectif de sensibiliser et former les jeunes sur ces enjeux cruciaux.
Les parrains, Dr Emma Kantiono et Salifou Bouda, ont encouragé les jeunes à devenir des modèles à suivre, à oser se prononcer sur les questions environnementales et à saisir les opportunités qu’offre l’engagement climatique, non pas comme une contrainte, mais comme une chance de transformation. Ils ont souligné que l’avenir de notre planète dépend fortement de la participation active des femmes et de leur leadership dans les domaines environnementaux.
En somme, la conférence représente un pas décisif vers la construction d’un avenir plus juste et durable, où les voix féminines sont au cœur des discussions sur le climat. Renforcer l’inclusion et la participation des jeunes, notamment des femmes, est essentiel pour garantir une justice sociale et une égalité de genre dans le cadre de l’action climatique.
Le samedi 18 octobre 2025, à Ouagadougou, s’est tenue la 2ᵉ édition de la conférence nationale sur le genre et l’action climatique, organisée par l’Association des jeunes pour l’écologie. Cette rencontre a réuni des acteurs et des jeunes engagés, illustrant l’importance croissante de l’inclusion des enjeux de genre dans les discussions climatiques.
Le secrétaire permanent du Conseil national du développement durable, Pamoussa Ouédraogo, a salué l’engagement des jeunes, soulignant que les politiques gouvernementales intègrent nécessairement le genre et l’équité dans les stratégies d’adaptation et d’atténuation. Plusieurs thèmes essentiels ont été abordés, tels que l’accès au financement et la participation des femmes aux prises de décisions, visant à former 200 jeunes sur ces enjeux cruciaux.
Les parrains de la conférence, Dr. Emma Kantiono et Salifou Bouda, ont encouragé les jeunes à ne pas se voir comme de simples victimes, mais comme des acteurs du changement. Une telle plateforme incite à une réflexion critique sur les interconnexions entre genre et environnement, prônant l’idée que l’avenir écologique et social dépend d’une inclusion active et d’une égalité réelle dans toutes les sphères de décision.
Laisser un commentaire